De plus en plus nombreuses sont les femmes qui à l’approche de la ménopause, se tournent vers les « médecines alternatives » ou « complémentaires », ou «douces » ou encore …« naturelles ». C’est la première constatation de cette étude, qui rappelle aussi les risques possibles de ces pratiques encore mal encadrées. Un appel donc, dans la revue Menopause, aux médecins, à mieux intégrer certaines de ces pratiques dans les options thérapeutiques et aux patientes, à consulter pour plus de sécurité.
Source : SanteLog / AlliedhealtH